Faits divers - La Ville a demandé plusieurs fois à la préfecture d'empêcher la tenue de ce marché sans droit ni titre. Pour l'instant, sans obtenir de résultat, dénonce le premier adjoint Anthony Borré.
Cela fait plusieurs années que ça dure. Tout près de l'arrêt du tramway, sur plusieurs mètres le long de la route, une quantité d'objets de toutes sortes sont mis en vente à même le sol. "Le marché sauvage de Bon Voyage-Pont Michel" n'a que trop duré, estime le premier adjoint au maire chargé de la sécurité, ce 17 novembre.
"Chaque semaine, la police municipale intervient et cela représente des tonnes de détritus dont doivent se charger les services de la propreté" dénonce ainsi Anthony Borré. "J'ai à nouveau écrit au préfet, et j'attends une réponse ferme de l'Etat. Le domaine public n'appartient pas à n'importe qui. Quand on décide de vendre, on doit une redevance à la collectivité. Et ici, les conditions d'hygiène ne sont pas réunies". Lors de cette descente, une vingtaine de personnes ont été verbalisées.