Implanté du côté de Cadenet, dans le Vaucluse, l’établissement hôtelier "La Fenière" promet des séjours reposants au sein d’un écrin de verdure à moins de 200 euros la nuit.
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C’est une nouveauté pour le Guide Michelin. Désormais, la célèbre revue salue les meilleurs hôtels du pays grâce à des distinctions sous forme de "Clés". Tout comme les étoiles des restaurants, ces notations vont de un à trois et servent à récompenser des sociétés aux prestations remarquables.
Cinq critères sont pris en compte pour y prétendre : le degré d’excellence de l’architecture, la qualité et la régularité du service, le caractère de l’établissement, le rapport qualité-prix et la faculté de l’établissement à "être une porte ouverte de la destination dans laquelle il se situe".
Comme le note Capital, les tarifs dans ces entreprises luxueuses vont de 122 à 1.805 euros la nuit. Nos confrères ont donc établi une liste des adresses pratiquant les prix les moins onéreux, pour un séjour au sein d’un site renommé sans trop se ruiner…
À partir de 190 euros la nuit
Parmi les hôtels retenus, on en retrouve un en Provence-Alpes-Côte d’Azur, du côté du Vaucluse. Dans le village de Cadenet, "L’Auberge la Fenière", tenue par Nadia Sammut, propose à sa clientèle des espaces au chic minimaliste. Au pied du Lubéron, le domaine dispose de 11 chambres au milieu des jardins, oliveraies et de la piscine.
Ici, les prix débutent à 195 euros par nuit pour la suite supérieure. Les cabanons de campagne se louent à partir de 250 euros et les chambres Deluxe dès 220 euros. Un véritable lieu de vie comprenant des terrasses privatives, le room-service, une bibliothèque, le nécessaire pour du yoga, ainsi qu’un bassin pour nager.
Un domaine de 7 hectares
Dans cette propriété de sept hectares, tout est fait pour que chacun puisse se reposer, se ressourcer, grâce à la quiétude de la maison. Notez qu’il est également proposé des ateliers de cuisine, moyennant 160 euros. La restauration est d’ailleurs l'un des atouts de La Fenière, avec des menus végétaux évoluant au fil des saisons, selon la pêche, les cueillettes et les récoltes au potager.
Il vous suffit d’opter soit pour "Une Table à la Campagne" et sa carte à 55 euros, ou bien pour "Le Goût du Bonheur", où les plats vous sont servis contre 90, 130 ou 160 euros. On a aussi le loisir d’y acheter certains produits "maison" : farine, pain, cake, biscuit et gressinis. Une histoire de famille qui dure désormais depuis 1972.
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