À l’occasion de son deuxième anniversaire, Nice-Presse accueille dans ses rangs un professionnel de la presse locale pour se lancer dans de nouveaux défis.
Romain Boisaubert, 27 ans, est né à Nice. Correspondant à l’étranger pour Le Figaro, journaliste chez Nice-Matin, Valeurs Actuelles PACA ou encore rédacteur-en-chef adjoint de Monaco-Tribune, il rejoindra notre journal ce lundi 6 juin.
Quel bilan faites-vous de Nice-Presse, lancé il y a deux ans?
L’équipe en place a démontré qu’à Nice le pari de la presse gratuite a été payant ! Je crois qu’elle a su nouer un lien solide avec les Niçois. L’aventure ne fait que commencer.
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Nice-Presse a attiré un million de lecteurs depuis deux ans et couvert un très grand nombre de beaux évènements, au centre de la vie des gens.
J’arrive dans un journal qui entretient des relations de qualité avec les autres médias d’ici, comme BFM Nice Côte d’Azur autour de plusieurs rendez-vous (Planète Locale et Le Décodage Politique) mais aussi avec la radio RCF. N-P sera dans les mois à venir partenaire de divers grands événements.
Nous inaugurons en ce début juin un nouveau logo avec un site tout neuf dont nous sommes très fiers. Une campagne de communication va suivre.
Quelles nouveautés comptez-vous impulser?
Nous sommes dans une phase de recrutements, cela va nous permettre de lancer, au fur et à mesure, de nouveaux rendez-vous qui plairont beaucoup. Nice-Presse va proposer des entretiens de personnalités de choix le dimanche dans l’été, et de nouvelles rubriques, sur le cinéma, l’économie azuréenne, les associations ou encore le Made in Nice. Il y aura à présent un dossier thématique chaque mois avec de nombreux papiers de fond.
De plus en plus, nous couvrirons les communes de la Métropole Nice Côte d’Azur, tout autant les pôles économiques que la vie rurale et son patrimoine.
Quelle sera votre « patte »?
Mon ADN, c’est la proximité ! J’ai grandi entre mer et montagne, autant à Nice que dans nos vallées. Je veux que cette identité, si riche, se ressente encore davantage dans nos sujets.
Nice-Presse sera le « porte-voix des Maralpins » sur l’actualité. Dans différentes rédactions, j’ai pu suivre de près les jolis moments de notre territoire: le Carnaval de Nice, le festival de Cannes, le Nice Jazz Festival, le Grand Prix de Monaco, les élections… Nous sommes là pour valoriser ce dynamisme, les forces vives.
J’ai lancé il y a quelques années un média engagé, Le Sport au Féminin : porter l’entrepreneuriat local, mais aussi certaines causes fédératrices dans nos pages sera l’une de mes missions.
Curieux et sans parti pris, je suis attaché à l’expression de toutes les opinions. Les débats me passionnent!