- Vous lisez un épisode de « Libération, l’identité préservée », l’un des dossiers de Nos Quartiers, le magazine qui parle de vous.
Vous souhaitez louer ou acheter un bien à Nice, mais vous ne savez pas où ? Le quartier de la Libération a peut-être des arguments pour vous séduire.
Un marché emblématique, des jardins verdoyants, des commerçants historiques, des restaurants atypiques et des projets ambitieux… Depuis quelques années, la Libé est portée par une dynamique nouvelle, qui se traduit par un quartier modernisé, plus que jamais attractif.
« Nos biens se vendent bien et vite, confirme Céline Lions, responsable de l’agence Orpi LP Invest depuis 2017. Il y a une forte demande à Libération. Alors que le délai de vente médian est de 90 jours au niveau national et sur la Côte d’Azur, ici, nous sommes plutôt autour des 60 jours ».
Une tendance qui s’explique par les nombreux avantages offerts par le quartier et ses prix moyens (entre 4 000 et 5 000 euros le mètre carré), qui le situent dans la moyenne des quartiers niçois, loin derrière les plus onéreux comme Saint-Antoine (5.700 euros) ou le Mont Boron (8.122 euros).
« La proximité avec les commerces, le centre-ville et la mer à quelques minutes en tram, le marché de la Libération, la Gare du Sud, l’ouverture imminente d’Iconic, tous ces facteurs expliquent la montée des prix dans le quartier » énumère Céline Lions, qui a grandi ici et qui a assisté aux premières loges à l’évolution de la Libé.
Moins de 5.000 euros le mètre carré à la Libé
« Que ce soit pour l’achat de sa résidence principale ou pour réaliser un investissement locatif, le placement est pérenne sur le long terme. À Libération, on peut difficilement se tromper ».
Récemment, et à titre d’exemple, la responsable de l’agence Orpi LP Invest a vendu un appartement T3 de 67 m² dans un immeuble bourgeois rue Vernier (parmi les rues les plus demandées avec l’avenue Mirabeau, l’avenue Malaussena, l’avenue Borriglione et le boulevard Joseph Garnier) au prix de 315.000 euros (4.700 euros le mètre carré).
« Certains locaux ne jurent que par le Port ou Garibaldi, mais quand ils découvrent Libération, ils nous disent qu’ils ont trouvé le compromis parfait ». En dehors des Niçois, nombreux sont les Parisiens, mais aussi… les Danois, à faire de la Libé leur cible !
« Les étrangers aiment énormément la proximité avec les commerces et les beaux immeubles anciens, comme on en retrouve souvent ici ».
Des constructions des années 1970 qui plaisent et qui font aujourd’hui de Libération l’un des quartiers où il fait bon vivre et où le marché de l’immobilier connaît une hausse significative. Et si c’était le bon moment pour investir ?