L'Union européenne a fait le pari d'une neutralité carbone à l'horizon 2050 par une planification d'une transition écologique à l'échelle de son territoire.
Il s'agit là d'un pari très ambitieux qui prend la mesure des avancées technologiques qui permettront de réaliser cette noble ambition écologique.
En effet, nous sommes confrontés à un réchauffement climatique sans précédent, et il nous appartenait de prendre les mesures nécessaires et indispensables dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique.
Cela passe par la généralisation du pacte vert ou de l'économie verte par des énergies alternatives qui prendront la mesure de la nécessité du développement durable. Mais est-ce là une utopie ?
Vers la neutralité carbone à visée européenne
Il y a un objectif au sein de l’Union européenne d’ici l’horizon 2050. Nous parlons d’un objectif de bilan carbone neutre ou d’une neutralité carbone. Pour ce faire, nous devrons inéluctablement réduire les gaz à effet de serre ou les émissions carbones, pour préserver les générations futures.
Nous tendons vers la mise en action d’une économie verte, avec des productions énergétiques de modes alternatifs, telles que les énergies renouvelables solaires ou les éoliennes.
Ainsi, l’Union européenne a produit une loi sur le climat tenant compte de tous ces paramètres.
Nous voulons à tout prix éviter un réchauffement climatique qui serait synonyme notamment de montée des eaux et de fonte de glaciers, et d’une chaleur trop importante non viable pour les humains. L’enjeu est de taille et les intentions revêtent toutes leurs lettres de noblesse.
Pour ce faire, l’Union européenne va budgéter 30 % du budget de l’Union européenne pour des projets sur le climat.
Cela passe notamment vers une transition écologique. Il convient de se donner les moyens de tels aboutissements, ce qui a un coût financier insoutenable, mais rendu nécessaire compte tenu des circonstances climatiques.
Vers une économie verte éco-responsable
Nous prenons donc le pari en toute conscience et assurance d’une économie verte au nom de cette transition écologique. Le moyen est le développement durable en vue d’éviter le gaspillage et la déperdition des énergies non renouvelables.
Il s’agit en effet de préserver les générations futures du péril planétaire. Il faut donc une mobilisation générale à l’échelle des pays membres de l’Union européenne et la visée est plus large.
Elle englobe en effet l’ensemble des pays du monde, notamment les pays en voie de développement.
Au sein de l’Union européenne, nous parlons d’un pacte vert, au nom d’une action collective et unanime. Nous voulons nous prémunir à titre préventif d’un changement climatique insoutenable qui demeure amorcé.
C’est en effet, notre dernière chance, et nous pensons l’avoir saisie en mesurant tous les enjeux d’une économie adaptée aux enjeux des circonstances.
Nous focalisons donc notre déploiement de moyens au nom d’une économie éco-responsable non polluante et nous avons pris toutes les mesures de taxation du pollueur-payeur largement dissuadé de polluer et de remédier à ses manquements par une adaptation des modes de production selon la donne de l’économie verte.
La nécessité d'une transition écologique
Nous nous amorçons donc vers une transition écologique sans précédent au nom du développement durable. Il s’agit en cela d’un nouveau modèle économique dénommé économie verte, impérieuse nécessité.
Le tournant s’amorce à l’horizon 2050, à moyen terme et demeure jalonné d’un parcours à étapes pour nous conduire vers la neutralité carbone à terme. Nous sommes donc en phase d’une économie verdissante qui redessine les contours de notre environnement européen, modèle économique à valeur de précédent pour l’ensemble des pays de la planète.
Ce n’est point une utopie, mais une nécessité réaliste et réalisable compte tenu des progrès technologiques qui nous permettront d’assumer une telle transition écologique plus respectueuse de l’environnement, dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique.
Des possibilités technologiques accrues permettant d'assumer le poids de nos ambitions
Nous mesurons donc nos possibilités technologiques qui guideront notre réussite dans un tel objectif à moyen terme. La technologie demeure donc le gage de notre future réussite dans une telle action.
Nous avons les moyens d’assumer nos ambitions qui demeurent fondamentales pour le devenir de nos civilisations, et de notre Union européenne pour ce qui nous concerne. Ce modèle économique doit s’exporter à l’international et s’étendre à l’échelle du monde.
Rendez-vous est pris à l’horizon 2050, nous avons déjà trouvé écho au Moyen-Orient, notamment en Arabie saoudite qui se fixe le même objectif à l’horizon 2050.
Se dresse à l’horizon un devenir nouveau pour nos civilisations, gage de la pérennité de notre planète terre, et d’une viabilité assumée.