Cette 4e édition initiée par la collectivité régionale revient le samedi 1er juillet, avec cette année un objectif solidaire supplémentaire.
Depuis le mercredi 21 juin, nous sommes officiellement en été, saison propice aux sorties dans les bars, restaurants et cafés, ainsi qu’aux verres à savourer avec modération. C’est dans ce contexte ensoleillé que sera organisée la 4e édition de la "Fête des terrasses".
Comme chaque année depuis sa création en 2020, celle-ci aura lieu le samedi 1er juillet et s’étalera sur les six départements de Provence-Alpes-Côte d’Azur, des Bouches-du-Rhône aux Alpes-Maritimes, et des Hautes-Alpes au Var.
Bistrots, cafés, bars… tous impliqués

Le principe de cet événement est extrêmement simple, plus de 7.000 bistrots, pubs et guinguettes vous attendent pour célébrer les beaux jours à l’extérieur de leur établissement. Un moment convivial où que vous soyez, dans un secteur touristique ou plus confidentiel.
Une belle occasion également pour chacun de (re)découvrir son quartier, un lieu générateur de vie sociale et de rencontres. Cette volonté, c’était celle affichée au début de l’aventure en 2020 par la Région Sud, qui a lancé le mouvement.
A la sortie du confinement, il avait été décidé, pour enrayer la morosité ambiante, de mettre en place une fête afin de permettre à chacun de se retrouver et de célébrer le retour à la vie.
L’opportunité aussi de faire d’une pierre deux coups en soutenant l’hôtellerie et la restauration qui se trouvaient dans une situation compliquée. Un bon moyen de relancer l’économie régionale, particulièrement la filière viticole, grâce à la promotion des vins locaux qui y est faite.
Sensibilisation au don d'organes
Petite nouveauté pour 2023, la dimension solidaire que prendra la manifestation. Le rassemblement sera en effet en lien avec l’association Don d’organes, dons de vie. Le but sera de sensibiliser le public à cette cause.
Pour rappel, 28.000 patients sont actuellement en attente pour une greffe, et si les Français sont "présumés consentants" selon la loi, il est possible de refuser d’être donneur en s’inscrivant sur le registre national des refus ou si votre famille ne donne pas son accord au corps médical. Or les proches refusent à 37% le prélèvement, principalement car ils ignorent la position du défunt sur la question.
Cette journée sera donc également symbolique pour expliquer qu’il est important d’exprimer son choix. Tout cela dans une ambiance de fête et d'échanges !