Il existe des lieux à Nice où l’horodateur n’a pas encore pris le pouvoir : on vous dit où.
Elles sont au nombre de 16 dans la capitale des Alpes-Maritimes. Aujourd’hui, il existe plusieurs zones de stationnement payantes dans notre cité, principalement dans le centre-ville et dans ses abords immédiats.
La Métropole détaille ces secteurs dans sa carte que vous pourrez retrouver ci-dessous. Ces périmètres s’étendent de la gare en passant par Jean-Médecin et Notre-Dame, sans oublier les quartiers Libération, Piol et Borriglione au Nord. A l’Est, cela concerne le Vieux-Nice, le port Lympia, Riquier et Risso. Lorsqu’on se dirige vers l’Ouest, il faudra sortir la carte bleue à la Madeleine, au Carré d’Or, les Musiciens et Gambetta.
Plus au Sud, toute la Promenade des Anglais est truffée d’horodateurs. Enfin, une partie des voiries du boulevard Simone-Veil et du quartier Saint-Isidore sont également coûteuses pour les conducteurs qui souhaitent s’y garer.

Des zones gratuites un peu partout
Les principaux axes niçois sont donc soumis au stationnement payant, mais rassurons les automobilistes, il reste tout de même des endroits gratuits pour y laisser sa voiture, mais attention : moins de sept jours comme le stipule le Code de la route.
Sur le document de la collectivité, les zones grises déterminent les lieux où il est possible de déposer son auto sans toucher à son portefeuille.
On remarque que l’Est de Nice offre cette possibilité, avec Saint-Roch, Vauban, Saint-Jean-d’Angély, Pasteur, Bon Voyage, Roquebilière et l’Ariane. Vous vous rendez plutôt dans le Nord ? Alors il est conseillé d’aller voir du côté de Gorbella, Le Ray, Valrose, Las Planas, Cessole, Saint-Sylvestre ou encore Mantega.
L’intégralité du secteur collinaire, qui comprend Cimiez, Pessicart, Saint-Pancrace, Bellet, Saint-Antoine de Ginestière, Saint-Pierre de Féric, La Costière, Gairaut et Rimiez, permet de stationner sans s’inquiéter d’une somme à verser.
A l’Ouest, rendez-vous à Fabron (sauf Californie et Promenade des Anglais), aux Baumettes, à la Lanterne, Caucade, Corniche Fleurie, Les Moulins, Saint-Augustin et la Plaine du Var, afin de ne rien dépenser.
La solution des parcs-relais
S’il est logique d’appliquer dans certains endroits une réglementation pécuniaire pour se garer, le manque de gratuité peut être comblé par un autre système. Avec les parcs-relais Ligne d’Azur, il est possible de trouver des places libres grâce à un abonnement ou à un titre de transport aller-retour de 3 euros qu’il faut valider le jour-même sur le réseau. Vous en retrouvez huit au total à proximité des lignes de tramway.