BRÈVE
Elle saisit le ministre de la Santé. Depuis le déconfinement, les Français atteints par une affection de longue durée, comme par exemple un cancer, sont un peu plus "tapés au portefeuille" que bien d'autres.
La raison ? Plus fragiles face au virus, ils doivent s'équiper d'un masque FFP2, "trois fois plus cher qu'un chirurgical". Une situation compliquée que la député LR des Alpes-Maritimes Marine Brenier a décidé de prendre à bras-le-corps.
Soulignant qu'aujourd'hui "nous ne manquons plus de masques", l'élu azuréenne a sollicité par courrier Olivier Véran le 23 novembre pour lui demander un geste à l'égard de ces patients.
"Il est inconcevable qu'ils soient encore obligés d'acheter leurs propres masques FFP2, sans que ces derniers ne soient pris en charge par la sécurité sociale (…) Ils méritent d'être mieux accompagnés".
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"Nous vous serions reconnaissants de porter une attention toute particulière à ce sujet, en instaurant (cette) prise en charge pour les personnes atteintes d'une maladie grave, d'un cancer ou d'une affection de longue durée".
26 autres parlementaires soutiennent l'initiative de la députée Brenier.
