La mairie et les riverains, remontés, ont obtenu gain de cause. Il faudra peut-être trouver un autre lieu, ailleurs en ville.
Un centre d'accueil pour toxicomanes, un CAARUD, devait s'installer dans le coeur de Nice, près d’un jardin d’enfants et d’importants établissements d’enseignement.
Inquiétude et exaspération des riverains, même chose pour Christian Estrosi… L'ARS et le ministère de la Santé étaient sur des charbons ardents depuis quelques jours.
Une réunion s’est tenue ce vendredi 4 novembre à l'Hôtel de Ville sur le dossier, avec le maire, plusieurs élus, les représentants de l'Agence régionale de santé et ceux de la Fondation de Nice.
Tous "ont convenu de la poursuite du travail engagé, sans écarter la possibilité d’identifier un site plus approprié pour améliorer le parcours de soin de ces personnes fragiles" indique ce soir la collectivité.
"Des réunions avec les riverains seront également organisées pour les tenir au courant de l’évolution du projet".