Le maire de Nice (FA) était l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC ce mercredi 1er septembre. Les phrases fortes à retenir.
Sa relation avec le président
"J'ai une relation de réelle confiance avec Emmanuel Macron, depuis 2017, voire même avant. Le seul du gouvernement (sous François Hollande, NDLR) qui a été à nos côtés après l'attentat de la Promenade des Anglais, c'était lui."
"Nous avons entretenu une dialogue permanent."
"La confiance est une chose, mais, en même temps, il y a ce besoin d'assurance", notamment sur le sujet de la décentralisation, que l'édile appelle de ses voeux. "Il doit y avoir un partage de compétences, y compris sur les questions régaliennes"
Sur la crise sanitaire
"Emmanuel Macron a pris les bonnes décisions, on voit que parmi les grandes démocraties européennes, la France est l'une de celles qui s'en sort le mieux après cette vague."
Sur la présidentielle 2022
"Je ne serai soumis ni à En Marche, ni aux Républicains". Parti dont il a d'ailleurs claqué la porte au début de l'été, "à cause de leur sectarisme, de leur opinion 'Macron-Le Pen, c'est pareil'. Ce n'est pas le cas."
"Quand il y a un danger avec le Front national, nous devons faire des coalitions."
"(À droite), nous avions échoué en 2016-17 avec un ancien président et deux anciens premiers ministres autour d'une primaire. On n'a pas le même standing aujourd'hui… Les mêmes causes produisent les mêmes effets."
Sur Raoult
« Nous avons besoin de Didier Raoult dans cette crise sanitaire. C’est dommage de se priver de l’un de nos plus grands chercheurs. « Vu l’immensité de son talent, nous en avons besoin pour la science ».
« Pendant des années, nous lui avons reconnu tous les mérites, et ce serait aujourd’hui à jeter aux orties ? Je ne suis pas d’accord. »
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