Philippe Pradal, ancien maire de Nice et député (Horizons) des Alpes-Maritimes, est l'invité de Nice-Presse et RCF Radio ce vendredi 17 novembre.
"Empêcher l'utilisation de la reconnaissance faciale nous fait perdre des moyens face à ceux qui souhaitent s'en prendre à nous" estime le député à notre micro.
"On peut imaginer qu'elle soit utilisée dans des cadres et des occasions limitées, pour rendre les forces de l'ordre plus efficaces. Un exemple très simple : libérons les policiers qui doivent se charger de contrôler les supporters interdits de stades, et équipons les caméras déjà en place aux alentours (des équipements sportifs, ndA)". Au niveau du pays, cela concernerait spécifiquement entre 300 et 350 individus, d'après les chiffres de 2021.