BRÈVE
Le tissu associatif, indispensable à nos territoires, a pris un sacré coup pendant la crise sanitaire. Pourtant, parfois, un coup de main suffirait.
“Alors que l’on reparle de nouveau confinement, les associations culturelles et artistiques ne se sont pas encore remises des deux premiers” note, ce vendredi 26 novembre, “Les Voix de Diane” dans une adresse à la presse.
Évoluant dans les domaines du chant, de la voix et de l’organisation de spectacles musicaux d’utilité locale, l’asso’ se trouve aujourd’hui dans une période un brin compliquée.
“Malgré la période sanitaire, nous avons monté notre propre spectacle musical Femmes, le temps d’un chant (Nice-Presse y assistait cet été, ndlr) dont la première s’est jouée au TNN le 8 mars 2019… la veille du premier confinement puis joué au Théâtre de Verdure, au Forum Nice Nord et dernièrement sur la Colline du Château pour Mon été à Nice”.
“Nous venons de terminer une première avec le projet Médi’Arts. Nous proposons aussi des cours de chant, de la gestion de chorale ainsi qu’une activité Yoga de la Voix, dirigée par la soprano Diane Frémaux. Nous travaillons actuellement à un projet de création d’une école des Arts de la scène qui regrouperait, chant, danse, comédie musicale et magie dans un seul et même établissement.”
D’intérêt public, mais sans aide municipale
Malgré ces différents projets que les Maralpins ont pu apprécier, l’asso’ ne bénéficie, par exemple, d’aucune aide ou subvention de la Ville de Nice. Mais c’est en termes de lieux où rencontrer le public que le collectif galère surtout.
“Nous sommes à la recherche de salles de spectacle ayant des dates disponibles pour que nous puissions jouer notre spectacle, ainsi que des résidences pour préparer le prochain. Nous sommes auto-produits et autonomes en régie.”
“Nous sommes là pour vous (…) et nous avons besoin de vous”. Le message est passé.
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