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Toujours détenu aux Seychelles, le graffeur azuréen reste épaulé par ses proches.
Plusieurs artistes ont donné des oeuvres pour les vendre lors d'une exposition, "Save Otom", organisée à Nice du 21 au 23 janvier, au 43 rue du docteur Richelmi.
L'argent récolté financera la défense de Thomas Debatisse, alias Otom, et l'aidera à organiser son retour en France.
L'artiste niçois est soupçonné par les autorités des Seychelles d'avoir tué sa petite-amie. La police française, elle, pense à un suicide.
Des expertises contradictoires qui entretiennent toujours le flou sur cette affaire dont le procès débutera le 3 février prochain.