La capitale des Alpes-Maritimes s'engage contre les discriminations, alors qu'elle est considérée comme une destination d'accueil pour les lesbiennes, gays, bi et trans depuis des années.
Depuis 2005, le 17 mai est la journée internationale contre l’homophobie et la transphobie. Même si la situation s’améliore pour les personnes LGBT+ en près de 20 ans, notamment grâce à l’évolution de la législation, des discriminations et de violences perdurent.
Dans le monde entier, Nice est considérée aujourd'hui comme l'une des villes françaises les plus gay-friendly.
"Engagée pour l'égalité des droits et contre la haine", la mairie, par le biais de la délégation de lutte contre les discriminations portée par l'élue Maty Diouf, compte bien "mettre en valeur le vivre ensemble" à l’occasion de cette journée internationale.
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En partenariat avec le Centre LGBTQIA+ Côte d’Azur présidé par Erwann Le Hô, elle diffusera du samedi 14 au dimanche 22 mai la campagne nationale "Être et aimer" proposée par l’association SOS homophobie.
Elle sera ainsi présente sur les grilles de la Promenade du Paillon et en format numérique sur l’ensemble de notre territoire. Elle présente huit portraits de personnes LGBT "incarnant la diversité, l’inclusion et la positivité".
Du lundi 16 au mercredi 18 mai, la Tour Bellanda, le Palais de Justice, le Parc Phoenix et la Tête Carrée seront éclairés aux couleurs du drapeau arc-en-ciel, symbole de cette communauté depuis 1978.
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