Le Montpelliérain ne se lance finalement pas dans le 06.
Début décembre, il s'apprêtait à sauter le pas. Henry-Jean Servat, candidat aux élections législatives de juin dans les Alpes-Maritimes ? « C’est le cas, mais je n’ai rien demandé » disait-il à Nice-Presse. « Je ne suis pas venu ici pour faire de la politique, le sujet n’est pas ma carrière mais ce que nous pouvons faire pour les bêtes. Je suis donc intéressé pour être candidat ».
C'est le Parti animaliste qui l'aurait approché. « Si le maire me donne son ‘feu vert’, alors on pourra dire que je me lance » expliquait celui qui est conseiller municipal dans l'équipe de Christian Estrosi depuis 2020.
Depuis cinq mois, on ne savait pas ce qu'avait pu devenir sa candidature. Interrogé deux fois par nos soins, il avait refusé de répondre. Fin du suspens ce vendredi 20 mai, puisque le nom de l'ex-journaliste ne figure pas dans la liste des candidatures déposées en préfecture.
Autre déconvenue politique pour Henry-Jean Servat : il avait annoncé en août dernier que le conseil municipal allait voter une condamnation symbolique la corrida. Ce qui n'est jamais arrivé.
Lot de consolation, Nice a tout de même été distinguée comme la meilleure ville où vivre avec son chien par 30 millions d'amis en avril dernier, après l'avoir déjà été l'an passé.