S’appuyant sur les notes de la clientèle, l'application The Fork a dévoilé son palmarès des meilleurs établissements culinaires de la ville. Et les noms ne sont pas forcément les plus attendus.
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À l’approche de la Saint-Valentin, pour fêter une autre occasion, ou simplement pour passer une agréable soirée, vous êtes à la recherche d’un bon restaurant à Nice ? Si vous souhaitez dénicher une nouvelle adresse, il peut être utile de prendre conseil sur les nombreuses plateformes qui peuplent Internet à ce sujet.
Parmi les plus renommées, nous avons The Fork, La Fourchette en français, filiale de TripAdvisor, qui demande aux clients de noter les établissements de 1 à 10. Le site de réservation en ligne a d’ailleurs publié récemment son palmarès des meilleures adresses du pays, mais aussi de celles de la capitale des Alpes-Maritimes.
Dans ce top 10 niçois, les deux premières maisons se trouvent également dans le top 100 français, à savoir "La Maison Joia" et le "Toné Géorgien", respectivement 93e et 95e dans la hiérarchie hexagonale, et premier et deuxième pour notre commune.
Cuisine et produits locaux à la "La Maison Joia"
Entamons notre périple par un passage au 41 rue de Verdi, à "La Maison Joia". Ici, les mets viennent tous de l’agriculture française, avec une mention spéciale pour les légumes, de producteurs locaux installés autour de Nice et Cannes. Dans un décor raffiné, entouré par des étagères où sont exposés produits d’épicerie et bouteilles de vin, venez savourer des plats pour une addition moyenne de 35 euros.
À la carte, de la volaille fermière, du poulpe grillé, de la tourte Rossini, mais aussi de l’agneau, un lapin à la moutarde, une daube de bœuf Provençale ou encore un saumon rôti.
Sachez d’ailleurs qu’il est possible de commander à emporter, et donc de profiter chez vous de la tourte aux blettes ou de la raviole de foie gras des Landes. Attention néanmoins à ne pas tomber dans le piège des nombreux trompe-l'œil concoctés par le chef.
Les spécialités géorgiennes à l'honneur
Juste derrière, on retrouve une entreprise aux spécialités géorgiennes, comme son nom l’indique. Au "Toné Géorgien", situé au 24 rue Meyerbeer, où l’on peut manger pour 35 euros, on déguste de l’ostri, du lobio, de la soupe chanakh ou encore du khinkali. Des plats à base de bœuf ou de veau majoritairement. Il est aussi proposé des brochettes de poulet ou de porc.
Pour les végétariens, laissez-vous tenter par l’assortiment d'aubergines ou encore les diverses salades de légumes.
Sur les 156 avis laissés sur The Fork, il a récolté la note de 9,8 sur 10 de la part de la clientèle.
"Le Cèdre", un peu de Liban dans vos assiettes
Enfin, à la troisième place arrive "Le Cèdre", qui fait partie des lieux confirmés de l’agglomération azuréenne. La cuisine libanaise y est élevée au rang d’art à travers les falafels, fatayer (des beignets aux épinards), Rikakat (croustillant de fromage), le taboulé, le caviar d’aubergine, la kafta ou encore le chichtaouk. Vous pouvez aussi partager des pâtisseries, à l’image du flan à la fleur d’oranger ou de la signature du chef, la "Brise du Cèdre".
Comptez en moyenne 38 euros pour un repas. Le menu gourmand, qui varie selon la période, est lui facturé 39,50 euros, comprenant quatre services pour des compositions oscillant entre tradition et modernité. Un autre en trois services est fixé à 29,90 euros.
Précisons que le reste du top 5 est occupé par "La Cantine de Mémé" (5 rue Longchamp) et "Le Kawa" (23 rue de Belgique). Un peu plus loin, des places 6 à 10, nous avons "Le Clin d’Oeil" (2 rue Chauvain), "Puro" (5 rue Gioffredo), "Zorzetto" (3 rue Dalpozzo), "La Vague" (8 rue Dalpozzo) et "Le Vingt4" (24 rue Alphonse Karr).
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