Moya, Orlinski, César Malfi… la Nice nouvelle génération est devenue un point de rendez-vous des créateurs contemporains.
Défilé de bêtes dans nos rues

Jusqu'au 30 septembre, ne soyez pas étonné si vous tombez nez-à-nez avec un lion, un dinosaure ou un crocodile sur la Côte d'Azur !
Quoi de mieux pour l'une des villes européennes les plus reconnues pour son action en faveur du bien-être animal que d'y accueillir le bestiaire de Richard Orlinski ? Durant toute la saison estivale, vous aurez l’occasion d’observer dix statues gigantesques de l'artiste un peu partout dans la cité (la carte par ici).
Moya en majesté

Un symbole de diversité au coeur du "petit Marais niçois". C'est le 16 juin qu'était dévoilée, place du Pin, l'oeuvre Dolly Party signée Moya. "Les Dolly Party permettent au Centre LGBT de recevoir des fonds pour soutenir le travail qu’il mène avec constance" a fait valoir le maire, Christian Estrosi, engagé depuis des années pour l'inclusion.

Des nouveautés qui font écho à l'accompagnement artistique du tramway et les dizaines d'oeuvres qui jalonnent les lignes 1 et 2.

On ne l'attendait pas forcément sur ce terrain, mais Nice sait être inattendue. Le streetart s'y développe comme jamais ces derniers mois, notamment avec César Malfi. HLM, château, espace d'expression libre, arcades de la Place Masséna… Chez nous, les artistes peuvent s'exprimer partout. Une galerie à ciel ouvert leur est même réservée, le long de l’avenue Desambrois.